Charlie Baileygates est un policier souffrant de troubles de la personnalite. Apres avoir suivi un traitement medical, il se voit confier la mission d’escorter Irene Waters dans un autre Etat, ou elle est recherchee pour une grave violation au code de la route. Mais Charlie entame ce voyage en oubliant ses medicaments, permettant par la-meme a son alter ego derange, Hank, de refaire surface. Et lorsque les deux personnalites commencent a se disputer l’amour de leur belle prisonniere, Irene se rend compte qu’elle est finalement attiree… par les deux. (Allociné)
Souvenir d’une séance parfaite, similaire à celle vécue quelques années plus tard pour l’Amour Extra-Large.
A ce moment-là, au tournant de l’année 2000, les Farrelly ont vraiment la magic touch, ils sont les Beatles de la comédie. Tout ce qu’ils font est osé, drôle, intelligent et couronné de succès. Le début du film, qui constitue le préambule à la véritable intrigue purée… Le premier pétage de plomb de Jim Carrey… Idée de génie absolu : ses enfants sont noirs, mastoc ET tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Le génie drolatique et humaniste des Farrelly dans cette seule idée. Ils reproduiront d’ailleurs le même schéma dans Deux en un, leur possible chef d’œuvre : Matt Damon et Greg Kinnear sont siamois mais ils vivent comme 2 personnes totalement distinctes sans que ça soit jamais bizarre ou incongru.
Une pensée enfin pour Renée Zellweger qui est ici à croquer et qui est désormais à pleurer.