Je rapproche toujours Gram Parsons de Big Star car j’ai découvert les 2 via un CD réunissant leurs 2 premiers albums respectifs. Par ailleurs, ils sont selon moi les exemples types d’artistes cultes longtemps restés dans l’ombre et redécouverts sur le tard (première moitié des années 90 en gros) par toute une génération de music nerds qui n’avaient pu jusque-là que les fantasmer, faute d’y avoir accès. Les comparaisons s’arrêtent évidemment là.
J’ai du mal à parler de ce disque car, alors que je l’écoutais et l’appréciais déjà depuis longtemps, je l’ai pleinement compris et assimilé au cours d’un épisode personnel où j’en menais pas large. En voiture comme il se doit, sur la highway. Du coup difficile pour moi de le dissocier de ce moment intime. Mais de toute façon, si tu veux en savoir davantage, l’oeuvre de Gram Parsons a suscité des palanquées de commentaires que tu n’auras aucun mal à trouver. Après, s’il fallait vraiment choisir, ça serait le premier, GP (tout comme j’ai une petite préférence pour le premier album de Big Star).