Alors le cageot il dit merci et il ferme sa boîte à caca !!!*

7ème bilan ciné pour Grande remise mais le 2ème seulement pour mes actrices/acteurs détestés/favoris de l’année. Je commence par les dames comme il se doit, et par les flops.

Un flop actrices donc, sans Marion CotillardKristen Stewart ni Charlotte Gainsbourg, mes 3 têtes de Turc favorites, est-il encore un flop actrices digne de ce nom ? La question s’est posée car j’ai presque eu du mal à l’établir. M’enfin, en creusant un peu, j’ai quand même trouvé quelques raisons de m’énerver.

 

Elle Fanning dans How to talk to girls at parties

« Oh la la qu’est-ce qu’elle est belle avec son teint diaphane et sa peau d’albâtre et gnagnagna ». Qu’est-ce qu’elle est CHIIIIIIAAAAAANTE oui ! Quand l’expression « à croquer » prend tout son sens: j’aurais envie de croquer à pleines dents dans sa putain de peau d’albâtre pour la déchiqueter et la réduire en miettes. Nicolas Winding Refn, ce visionnaire. C’est bien simple, je me suis abstenu de voir un film (Shelley) qui aurait peut-être pu me plaire uniquement en raison de sa présence dans le rôle principal.

 

Michèle Laroque dans Brillantissime

J’avais rien contre elle jusqu’ici. Elle végétait dans le marécage vaporeux de mon indifférence. Elle n’existait pas à vrai dire. Mais voilà, cette année, Michèle Laroque a réalisé un film, et non des moindres.

 

Agathe Bonitzer dans La Belle et la Belle

C’est difficile d’établir ce top sans trop user d’arguments superficiels voire mesquins voire misogynes. Je dirais donc simplement que, à tous les niveaux, c’est pas possible. A chaque fois que je la vois tenir un rôle dans un film, je me dis que son père (Pascal Bonitzer, réalisateur et scénariste) a décidément une envergure et un poids insoupçonnés dans le cinéma français: c’est pas possible autrement sans déconner…

 

Vanessa Paradis dans Un couteau dans le coeur

Une carrière cinématographique tellement en pointillé que j’avais encore pas eu l’occasion de la mentionner parmi mes têtes de turc éternelles. Mais l’immortelle héroïne d’Un amour de sorcières, Atomik Circus, Sous les jupes des filles, Une chance sur deux, Cornouaille (énorme celui-là) en fait partie: ça commence par le physique, comme Mélanie Laurent par exemple et donc ça s’explique pas de manière rationnelle. En tout cas, c’est pas sa présence dans un des films que je retiendrai cette année qui y changera quoique ce soit : elle y joue tellement mal, as usual, qu’elle me l’a presque gâché par moments.

 

Margot Robbie dans Moi, Tonya

Beauté parfaite de type aryen que je ne goûte guère. Et puis c’est pas de sa faute mais le syndrome Monster  toujours en vigueur  à Hollywood, je supporte pas : on demande à une actrice belle, ou supposée belle, d’exagérément s’enlaidir. Ou quand être moche devient une performance. Et puis elle a été choisie pour interpréter Sharon Tate dans le film consacré à l’année 69 par Tarantino et ça c’est une aberration, c’est proprement scandaleux.

Et bien sûr, l’actrice belle-enlaidie sera toujours plus belle que le vrai personnage vraiment moche.

 

Isabelle Adjani dans Le monde est à toi

A 63 ans, sa peau est plus lisse que celle de ton enfant/petit neveu/petite nièce. Conséquence logique, son visage semble comme paralysé : seuls les yeux, enfin, les globes oculaires, et la mâchoire inférieure paraissent souples, ou en tout cas mobiles. Fascinant, quelque part. Après, et malgré un jeu totalement anachronique, c’est une bonne idée de l’avoir castée dans ce rôle et dans ce film, je dis pas.

 

Oulaya Amamra dans Le monde est à toi

Là on est clairement sur du sale, et je suis pas sûr que ça soit uniquement dû au rôle qui, à sa décharge, est particulièrement ingrat.

 

Sara Giraudeau dans Le Bureau des légendes

Petite exception de ce top: je n’ai rien contre Sara Giraudeau elle-même, c’est son personnage de Marina Loiseau qui m’horripile. Sans déconner, je sais pas mais avec toutes les bricoles qui lui sont arrivées, je comprends pas qu’elle fasse encore partie du BDL. Trop de sentimentalisme dans ce service nom de Dieu, il a raison JJA. Sans compter que vu que tous les services du monde savent tout sur tout le monde, elle devrait être un peu grillée non ? Encore une fois, elle y est pour rien, c’est de la faute des auteurs de la série mais vraiment je comprends pas… Ce service/cette série ne s’est pas séparé des bonnes personnes, voilà c’que j’dis moi.

 

Anna Kendrick dans L’Ombre d’Emily

Quand je la regarde, je la vois pas elle, Anna Kendrick, actrice sympatoche, membre depuis plusieurs années de la catégorie girl-next-door, je vois une petite rate. Avec un petit nez de petite rate et des petites dents de petite rate. Belle lucidité de sa part néanmoins puisque dans ce film, elle interprète une nana complexée et admirative de Blake Lively.

 

et pour terminer, 2 valeurs sûres de ma hate list:

Golshifteh Farahani dans La Nuit a dévoré le monde

Rien que ce regard là, c’est pas possible nom de Dieu… Heureusement qu’elle ne fait qu’une apparition sinon elle me gâchait le film.

 

Mélanie Laurent dans Mélanie Laurent

Sérieusement, j’ai besoin de me justifier ?

 

*Citation tirée du livre V de Kaamelott (Perceval à la femme de Karadoc)

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