Tout juste fiancé, Thomas rencontre son futur beau-père Gilbert, marié depuis 30 ans à Suzanne. Gilbert, désabusé, est convaincu d’être passé à côté de sa vie à cause de son couple. Il dissuade Thomas d’épouser sa fille Lola et le pousse à tout plaquer à ses côtés. Ils se lancent alors dans une nouvelle vie de gamins pleine de péripéties, persuadés que la liberté est ailleurs.
Mais à quel prix retrouve t-on ses rêves d’ado ?… (Allocine)
J’en parle ici.
Ca peut paraître dingue de hisser ce film aussi haut, d’autant qu’il n’a que 2 ans, mais je l’ai revu il y a peu et malgré quelques grosses maladresses, je l’aime vraiment beaucoup. Je le trouve extrêmement drôle, tout simplement. Il réussit à jeter un pont entre comédie américaine et comédie française comme je le dis dans mon billet originel (dans le registre humoristique mais aussi avec la problématique globale de l’enfulte, ou de l’adulescent, pour résumer) mais aussi entre 2 générations de comiques français: Chabat, vraiment excellent pour une fois (en tant qu’acteur je veux dire), semble passer le relais à Boublil.
Et puis quand on voit ce qu’est devenue la comédie d’ici ces dernières années (ce weekend j’ai vu Camping 3 par exemple. Et il faut le voir pour le croire), à l’exception notable des films d’Antonin Peretjatko ou Riad Sattouf, Les Gamins prend d’autant plus de valeur donc voilà.