Idem que précédemment. Et puis j’ai pas trop envie d’en dire davantage car c’est un disque qui m’a accompagné à un moment où je faisais pas trop le malin si tu vois ce que je veux dire. Tu vois pas du tout mais je n’en dirai pas plus, on a pas écouté Bernard Lenoir ensemble non plus.
Allez, 2 mots : cet album a été ma porte d’entrée pour Neil Young et s’il ne fera évidemment pas cet office pour tout le monde, je le conseille souvent à ceux qui ne seraient pas encore convaincus car il est accessible et bien équilibré, aussi électrique qu’acoustique. Un album « facile », sans connotation péjorative : c’est l’album qui a permis à Neil de se remettre en selle tout autant que les idées en place après une période pour le moins chaotique mais évidemment géniale, quasiment mythique avec la doublette Tonight’s the Night / On the Beach. 2 albums qui auraient toute leur place ici, ça va sans dire.